Le Taj Mahal, construit entre 1631 et 1648, est en rénovation depuis quatre ans. La pollution atmosphérique, omniprésente en Inde, jaunit le marbre blanc du monument. Afin de redonner son éclat à la pierre, des couches de boues sont appliquées sur sa façade pour absorber les impuretés.
Outre la restauration des façades, les ouvriers doivent dorénavant s’atteler à la restauration du dôme central qui présente une problématique au niveau de la structure de l’échafaudage. Les experts redoutent que la pression des échafaudages n’abîme le marbre.
L’archéologue en charge du programme de rénovation explique : »La structure est vieille de près de 400 ans, nous ne pouvons pas faire peser de poids supplémentaires dessus. En essayant de réparer les dommages, nous ne devons pas en causer de nouveaux. »
Photo : Swirly – Wikimédia